Publié le : 16 septembre 20215 mins de lecture

Le feu a été parmi les premières inventions de l’être humain. Ce dernier, étant dans l’obligation de s’adapter à la fraîcheur, voire à la froideur, nocturne, la chaleur devient indispensable pour toutes les saisons. Pour ce faire, le bois sert de combustion. Dans les temps actuels, l’idée devient une réelle innovation. Ceci, que ce soit dans la praticité, la performance, ou encore le design. Le bois de chauffage est soumis quotidiennement à des études, dont concernant la qualité du combustible.

 

Que faut-il savoir, en général ?

La combustion du bois permet de dégager de la chaleur pour réchauffer l’air environnant. Généralement, le bois est brûlé dans un foyer, celui d’une cheminée, ou encore d’une poêle. Le mécanisme découle d’une installation spécifique et sécurisée. La diffusion de l’air chaud découle d’une complexité, pourtant, elle semble apparaître simple. Effectivement, bien avant cette chaleur apaisante, les étapes se succèdent d’abord. Pour commencer, les bûches de bois passent par le séchage dès que le feu commence à agir. Pour permettre une bonne combustion, la phase de l’évaporation d’eau est indispensable. Il faut savoir que le bois déjà coupé contient encore jusqu’à près d’un tiers de la totalité d’eau initiale. Même s’il est sec au toucher, donc, son simple stockage ne le tarit pas. D’où l’excès de fumée, lorsque la flamme s’y imprègne.

A cela s’ensuit les réactions cellulaires. Pour ainsi dire, les cellules boisées vont se décomposer et avantager la gazéification. Par celle-ci, du gaz combustible, ainsi que des résidus de charbons se dégagent. Pour des informations plus approfondies, consultez cette page. C’est à ce moment-là, donc, que la chaleur commence à se répandre. Soit à un niveau exothermique de 275°, le bois de chauffe se noircit, tandis que la diffusion de dioxygène s’affaiblie.

 

Les différents bois de chauffe

Dépendamment de l’arbre, le bois de chauffage va brûler et fournir des résultats différents. Les bois durs, tels le hêtre, l’érable ou encore le chêne, vont fournir une quantité satisfaisante de chaleur. Cependant, ils sont assez coriaces : compliqués à allumer et prennent du temps à se fendre. Ils restent, ainsi, plus onéreux sur le marché. Les bois résineux, au contraire, coûtent moins, du fait de leur rapidité de combustion. La chaleur doit, donc, être maintenue, selon le type de bois, mais aussi, selon le type d’appareils. En réalité, ce dernier influence, aussi, sur la combustion du bois, comme sur la qualité de la chaleur répandue. En fait, une installation à foyer ouvert, par exemple, va plus consommer, à la différence de celui, à foyer fermé. Celui-ci sera plus économe.

En effet, le bois de chauffe peut être acquis sous des formes diverses : en bûches de bois classiques, en briquette, en plaquettes ou en granules. Tous et chacun sont aptes à fournir de la chaleur. Il serait, quand même, utile de se renseigner sur le sujet pour décider à côté des besoins de l’utilisateur.

 

Les meilleurs bois de chauffe

Selon certaines études, les bois robustes vont fournir nettement plus de retours positifs. Effectivement, leur combustion s’avère plus lente, tout en produisant plus de flammes que de fumées. La qualité d’un moment au bord du feu, est, de cette manière, plus sûre. En outre, les bois de résine offrent un maximum de chaleur, pour une combustion trop rapide. Pour acquérir un bon feu, il faut recharger plus souvent le foyer. Il faut souligner que la qualité du chauffage au bois ne se reflète que dans sa combustion. Pour ainsi dire, un bon bois va bien brûler, tandis qu’un autre, à moindre qualité, va se consommer avec plus d’efforts à faire.

Il reste essentiel d’avoir connaissances des moindres des détails, sur le bois pour le chauffage. Cela va permettre d’aller aux devants des aléas, tout en préservant, un bon nombre de mauvaises décisions. Ainsi, il faut le rappeler que le feu doit être manié en bonne conscience.